vendredi 29 mars 2013

De A à Zen: l'ABC du journal créatif


Voici un article d’Émilie Laperrière  que vous trouverez dans La presse Montréal du samedi 16 mars 2013. Pour lire cet article au complet : cliquez ici 
"Le journal créatif, vous connaissez? Dérivé du journal intime, il combine dessin, écriture et collage en plus d'être un outil de développement personnel. À vos crayons de couleur, La Presse vous montre comment procéder.
Le journal créatif pourrait bien être l'une des seules formes d'art qui ne demandent pas de talent particulier. Bien plus que le résultat, c'est le processus qui compte ici. Ceux qui l'ont essayé ne jurent que par cela.
 
Les bienfaits
 
Manon Lavoie, derrière le site M comme Muses, offre depuis quatre ans des ateliers créatifs. «L'utilisation de l'écriture et du dessin permet de faire travailler les deux hémisphères de notre cerveau. Ça permet de créer sa vie à son image, de s'exprimer et de se sentir bien, en plus de faire le point, assure-t-elle. Quand on le feuillette après, c'est un joyeux rappel de tout le chemin qu'on a parcouru.»
 
Après avoir publié le livre Le journal créatif, Anne-Marie Jobin a fondé l'école le Jet d'Ancre en 2004, où elle donne des ateliers pour former notamment des animateurs en journal créatif. Elle est bien d'accord avec Manon Lavoie: «C'est presque comme de la méditation. On s'arrête, le temps de s'ancrer et de voir dans quelle direction on va.»
 
Le matériel
 
Pour débuter, pas besoin de matériel compliqué. Un cahier sans lignes est évidemment l'idéal. Quelques crayons de couleur, des feutres et des pastels devraient aussi se retrouver dans la boîte à outils.

 
Pour le collage, on aura besoin de pages de magazines, de photos, de ciseaux et de colle. Du carton, du papier de soie, de la dentelle ou encore de la peinture pourraient aussi être utilisés.

 
Il n'y a pas vraiment de limites, mis à part l'imagination. Et ça n'a pas besoin d'être coûteux. «Pigez dans le matériel de vos enfants, découpez vos vieux magazines et achetez vos crayons au Dollarama!», suggère d'ailleurs Manon Lavoie.
 
Quelques exercices pour commencer
 
Anne-Marie Jobin conseille de se lancer d'abord avec des exercices spontanés. «On peut faire une première page pour illustrer comment on se sent en ce moment ou même quelle couleur nous sommes aujourd'hui», explique-t-elle. L'important, c'est de ne pas juger son travail.

 
Manon Lavoie rappelle que le plus beau, dans tout ça, c'est qu'il n'y a pas de règles. «On se laisse aller. Si une page est laide, on la laisse de côté quelques jours et on y revient ensuite. Ça va débloquer.»
 
Les plus rationnels, pour qui gribouiller sans but n'est pas une tâche facile, pourront suivre un atelier, consulter un exposé en ligne ou lire un livre sur le sujet avant de commencer. Les ressources sont immenses. Il suffit de faire une recherche sur le web pour s'en convaincre.
 
À qui ça s'adresse?
 
Anne-Marie Jobin avoue que sa clientèle est presque exclusivement féminine, même si le journal créatif s'adresse à tous.

 
«Sur les 139 animateurs formés depuis le début, il n'y a que 3 hommes», dit-elle. Par contre, pour les ateliers de base, la proportion remonte un peu: près de 1 participant sur 15 est un homme. «Je crois que l'approche est féministe, puisqu'elle redonne le pouvoir et le contrôle à la personne.»
 
Plusieurs femmes d'affaires participent d'ailleurs aux ateliers de Manon Lavoie. Son conseil: cacher une trousse de survie au bureau! «Quand elles ont l'impression d'être dans un cul-de-sac, elles ferment leur porte et consacrent quelques minutes à leur journal créatif. Souvent, la situation se débloque ensuite.»
 
Que ce soit pour mieux se connaître, s'exprimer ou apaiser sa voix critique, le journal créatif peut avoir plusieurs bienfaits. Il suffit de se laisser inspirer."

 

mardi 26 mars 2013

Ateliers d’introduction au journal créatif à domicile

Vous aimeriez participer à un atelier de journal créatif mais vous habitez trop loin de Québec ou certaines raisons vous empêchent de vous déplacer…

J’ai une solution pour vous :

Il vous suffit de réunir chez vous 5 autres personnes intéressées par un atelier de journal créatif et je me déplace pour vous fournir un atelier à domicile.

De plus, en tant qu’hôtesse, cet atelier vous sera offert à moitié prix

Imaginez-vous, dans le confort de votre foyer avec 5 ou plus de vos amies pour vous initier à un atelier de journal créatif…..il ne vous reste plus qu’à vous procurer un cahier avec des pages blanches et je fournis le reste du matériel….une belle journée de découvertes, de créativité et de détente entre amies en perspective….

Coût :

Atelier d’introduction au journal créatif de 9h à 17h
100$ / personne. 50$ pour l’hôtesse

Atelier d’introduction au journal créatif : 2 jours
9h à 17 h le 1er jour et 9h à 16h le 2ème jour
185$ / personne. 90$ pour l’hôtesse

+
Frais de transports 10$/100km

+
Frais d’hébergement pour l’atelier de 2 jours

Pour information : info@confiansoi.com  

vendredi 22 mars 2013

Un collage anti douleur


 
Voici un exercice que j’ai trouvé sur le blog de Valérie Barrois :  qui est en train de terminer sa formation d’animatrice en journal créatif avec Anne Marie Jobin.  

Elle a utilisé le collage pour détourner son attention d’une douleur et cela a fonctionné pour elle. C’est un exercice que j’ai trouvé excellent et je ne doute pas de son efficacité. Voyez par vous-même :

« Avant : je ressentais une douleur assez vive et le temps me paraissait long, difficilement supportable… Au lieu de m’enfermer dans cette douleur, j’ai décidé de détourner mon attention. J’ai donc pris deux vieux magazines, des chutes de papier cadeau, de la colle blanche et un pinceau… sans oublier mon journal !

Pendant : j’ai commencé à feuilleter les magazines à la recherche d’images, de mots ou de phrases qui m’attiraient, qui me parlaient d’une façon ou d’une autre. La douleur était bien présente mais déjà un peu moins lancinante. Plus mon stock d’images augmentait et plus la douleur semblait s’effacer, s’apaiser.

J’ai donc sorti mon pinceau, ouvert le pot de colle et ai commencé à coller des images ou bouts d’images sans idée préconçue, juste en farfouillant dans mon tas et prenant le morceau qui m’attirait. Plusieurs fois j’ai eu le sentiment que c’était comme si je faisais un puzzle en ajustant des bouts de papier les uns à côté des autres, les laissant se juxtaposer et trouver leur place en fonction de leur forme. Je me suis plongée dedans en en oubliant la douleur.

Quand j’ai eu le sentiment d’avoir terminé, j’ai pris le temps de regarder le collage d’un peu plus loin. Et là, j’ai pris conscience que ma douleur était beaucoup plus douce, paisible et légère : comme moi ! Je me suis sentie pleine de gratitude.

Je souhaitais continuer à expérimenter cette douceur et cette légèreté ; l’ancrer en moi, dans mon corps. J’ai alors pris un feutre noir (à l’encre permanente qui écrit sur toutes les surfaces) pour créer une bordure, comme pour délimiter mon expérience…

Après : le lendemain, en regardant à nouveau ce collage, mon sentiment de gratitude a ressurgi instantanément. J’avais sous les yeux toutes les étapes  de cette douleur d’abord lancinante qui peu à peu se fait discrète et légère. J’y voyais un collage plein de couleurs mais surtout un témoignage de cet « autre regard », cette autre expérience de la douleur, de tout ce processus de transformation. C’est la première fois que j’expérimentais le collage comme antidouleur (j’utilise la respiration ou la couleur en général) et je le garde précieusement en tête.

J’aime tester et m’émerveiller devant ces outils si simples, si flexibles et en même temps si puissants… Et comme j’ai l’habitude de le dire : « Au pire, ça ne marche pas… Et si j’expérimente, ça peut aussi me faire du bien. »

Alors évidemment, ça me donne envie de partager cette expérience et de vous inviter à tester si ça marche avec vous !

(Extrait de mon journal créatif.)

N.B. : cet exercice ne doit en aucun cas se substituer à un traitement médical en cours. Il peut servir d’accompagnement pour vivre au mieux la douleur. »

Si cet exercice vous a été bénéfique, venez écrire vos commentaire ci-dessous ou sur le blog de Valérie:  les couleurs de la vie

 

mardi 19 mars 2013

Témoignage de Gisèle de Québec sur les bienfaits du journal créatif

J’ai initié mon ami Gisèle au journal créatif, il y a 4 ans et depuis nous continuons de nous voir régulièrement pour en faire ensemble. C’est pour nous, à chaque fois,  de beaux moments à partager.
Dans cette vidéo Gisèle nous parle de sa découverte du journal créatif et de ce que cela lui a apporté.
Elle nous raconte également sa première expérience avec un exercice au sujet d’une douleur.
Et elle termine cette petite entrevue en nous donnant ces 2 exercices de journal créatif préférés: le dessin intuitif et le collage

 

Et vous? Vous souvenez vous de votre première expérience de journal créatif et de ce que cela vous a apporté?  Venez partager cela avec nous ci-dessous!

vendredi 15 mars 2013

ATELIER DE JOURNAL CREATIF DANS LE NORD DE LA FRANCE


je profite de mon séjour en France pour vous proposer un atelier de journal créatif sur le thème de la découverte de soi.


 
Samedi 4 mai 2013 de 9h à 17h
Dans cet atelier d’une journée, vous utiliserez le journal créatif pour élargir votre perception de vous-même et partir à la recherche de vos valeurs et de vos aspirations profondes
Vous y apprendrez des techniques de journal créatif ludiques, originales et stimulantes  qui vous aideront à explorer vos différentes facettes pour mieux les comprendre et les intégrer.
 
                                                      
 Vous passerez une journée relaxante, nourrissante et enrichissante avec d’autres personnes, qui comme vous, sont à la recherche du meilleur d’eux même et d’un mieux être profond et stable
 
Vous ressortirez de cet atelier avec une meilleure connaissance de vous-même et des potentiels qui vous habitent ainsi qu’avec des exercices de journal créatif que vous pourrez réutiliser seul chez vous quand vous en aurez envie ou besoin
COÛT :
Inscrivez-vous avant le 31 mars et gagnez 15 €
Payez 75€  au lieu de 90 € pour la journée,
 
matériel inclus, apporter seulement votre cahier avec des pages blanches
 (genre cahier à dessin)
 
Vous pouvez également apporter votre diner pour un repas pris en commun
LIEU : AZUR SHIATSU, 136 rue des créchets, 59940 ESTAIRES
(30mn de Lille)
 
 
Pour vous inscrire contacter:  
 
Sabine : 06 52 33 95 05 ou  Éric : 06 72 87 86 47

mardi 12 mars 2013

Connaissez-vous le pantoum?

C’est un poème originaire de Malaisie qui commence par un quatrain (4 vers ou strophes) qui sont repris ensuite dans un ordre particulier.
 
Cela donne un poème amusant à faire, assez facile et toujours surprenant surtout en ce qui concerne les 4 derniers vers.
Voici l’ordre des lignes donnés par Anne Marie Jobin dans son livre : « Fantaisies et Gribouillis ».
1-2-3-4, suivi de 2-5-4-6, suivi de 5-7-6-8, puis de 7-1-8-3.
Pour faire ce poème, commencez par écrire la séquence de chiffres sur votre feuille à la verticale. Ensuite, écrivez les 4 premiers vers.
Vous pouvez écrire ce poème à la fin d’un exercice de votre journal, comme des pages d’écriture rapides, ou à la suite d’un dessin ou d’un collage ou encore, pour finaliser et boucler une suite d’exercices sur un sujet particulier.
 
Une fois vos 4 premiers vers écrits, vous  les réécrivez sur votre feuille en face de leur numéro respectif, exemple : la première phrase a la 2ème place du 4ème quatrain, etc. Puis vous comblez les vides.
Voici celui que j’ai écrit suite à une série d’exercices fait en atelier avec Anne Marie Jobin :

M’abandonner

1     Je prends ma place avec fierté
2     Pour laisser germer ma créativité
3     J’abandonne ma sécurité
4     Pour voir la vie en grand

2     Pour laisser germer ma créativité
5     Je m’abandonne à la vie
4     Pour voir la vie en grand
6     J’abandonne mes limites
 
5     Je m’abandonne à la vie
7      A chaque inspiration
6     J’abandonne mes limites
8     A chaque expiration 

7     A chaque inspiration
1     Je prends ma place avec fierté
8     A chaque expiration
3     J’abandonne ma sécurité

Avez-vous trouvez cet exercice facile?

Que vous a-t-il apporté comme informations supplémentaires?

Pour ma part, le fait de relier la respiration à l’abandon m’a beaucoup parlé et cette façon de terminer le poème à laquelle je ne m’attendais pas du tout m’a vraiment impressionné.

A votre tour d’essayer ce bel exercice! Et venez m’écrire vos commentaires ci-dessous.

vendredi 8 mars 2013

Comment se débarrasser de nos croyances négatives

Nous avons de nombreuses croyances. Certaines nous sont utiles et sont positives pour nous et d’autres  sont plutôt négatives et nous freinent dans nos élans.

 Avec le journal créatif, il y a différentes façons de travailler sur nos croyances. En voici une que j’aime beaucoup utiliser et que je trouve très créative et aussi très efficace.

Comment se débarrasser de nos croyances négatives

 Tout d’abord, sur une page libre, (en dehors de votre journal) faites la liste des croyances que vous ne trouvez pas bonnes pour vous en ce moment. Pas plus de 5 ou 6. Vous pouvez même travailler sur une croyance à la fois pour avoir un impact plus puissant.

 Puis réfléchissez pour savoir comment vous pourriez transformer chacune de ces croyances négatives en phrase positive. Par exemple :

 Je ne finis jamais rien, pourrait se transformer en : maintenant, je suis capable d’aller jusqu’au bout de ce que je commence. 

 Je manque toujours d’argent pourrait se transformer en : j’apprends à économiser de mieux en mieux. 

 Écrivez vos phrases positives sur une autre feuille de papier que celle ou sont écrits vos croyances négatives.

 Ensuite prenez votre feuille ou sont inscrites vos croyances négatives et déchirez-la en petits morceaux en prenant bien conscience que vous êtes en train de vous en débarrasser. Collez ces petits morceaux à l’envers sur une page de votre cahier et recouvrez-les de gesso ou de belles couleurs de peinture. Prenez beaucoup de plaisir à faire cela, amusez-vous et détendez-vous. Il faut que ces couleurs vous fassent du bien.
 
Ensuite, écrivez sur la peinture sèche au feutre noir toutes vos phrases positives et décorez-les à votre façon.

 Regardez votre chef d’œuvre, lisez vos phrases et notez ce que vous ressentez.

Amusez-vous bien et venez partager votre expérience ci-dessous.

mardi 5 mars 2013

Pourquoi lister les différentes étapes de ma vie ?

« La vie ne se comprend que par un retour en arrière, mais on ne la vit qu’en avant. »
Søren Kierkegaard
 
En réponse à cette question, je suis allée vous chercher un chapitre du livre de Dominique Loreau : "L’art des listes" dans lequel, elle nous décrit, avec sa façon bien a elle, l’importance et l’efficacité de telles listes. Vous les trouverez dans le chapitre intitulé
"Les pas japonais"
Imaginez, dans un jardin parfaitement obscur, un chemin de pierres fluorescentes, de ces gros galets appelés "pas japonais", sur lesquels on marche pour ne pas se salir les pieds. Imaginez que ces "pas japonais" représentent différentes étapes de votre vie.
Faites une liste de petits chapitres à compléter intitulés "Mes années autour de la vingtaine ", " Ma trentaine ", " Ma quarantaine ", etc. et notez dans chacun d’eux les principaux événements qui ont eu lieu.
Ira Progoff, dans Intensive Journal, recommandait de faire la liste des événements principaux de sa vie sous forme de  "pas japonais". Mais il insistait sur l’importance de ne pas créer plus d’une douzaine de pas, cela afin de garder une vue claire et globale sur l’ensemble de sa vie. Ces douze pas peuvent ressembler à :
  • Ma petite enfance
  • Mon accident de moto
  • Mon premier grand amour
  • Mon mariage
  • Mon divorce

Faire une chronologie de votre vie sous cette forme vous permettra de trouver une corrélation entre toutes sortes d’événements qui vous paraissaient jusque-là disparates et sans continuité (aspirations professionnelles sans rapport les unes avec les autres, cycle de mariages, divorces, ruptures…). Ce chemin de "pas japonais" vous ouvrira les yeux sur la personne que vous êtes comme si vous aviez écrit l’histoire de sa vie. Vous gagnerez un aperçu de cette personne en mouvement, et cela vous donnera une meilleure vue de votre propre progression. Vous pouvez également faire le tableau de "pas japonais" d’une personne qui vous est chère (votre conjoint, un ami, un membre de votre famille…). Vous la percevrez alors comme autonome et séparée de vous, plutôt que de la voir comme l’objet de votre amour ou de vos besoins. Vous entreverrez peut-être même une suite à son histoire.
Les listes en "pas japonais" peuvent être déclinées pour comprendre sa vie dans différents domaines. Vous pouvez ainsi écrire les "pas japonais" de vos amours, ceux de vos succès, ceux de votre carrière…
Il vous sera ensuite aisé de développer chacun de ces "pas" en y greffant d’autres éléments. Vous serez peut-être même capable, en révisant de la sorte la progression de votre vie, de visualiser en continuation les « pas japonais » du futur que vous aimeriez emprunter. Par exemple :
  • Mon divorce est prononcé
  • Je vis à Nice
  • Je prends des cours de peinture
  • J'emménage dans un joli petit appartement
  • Je vends quelques-uns des tableaux que j'ai peints
  • Je trouve enfin la paix

Cette liste est aussi une liste de vœux, mais de vœux parfaitement réalisables. Ce qui y est noté influencera le devenir de votre vie : les listes aident à prendre des décisions, à visualiser le futur, et en ce sens elles nous guident. Elles permettent également de prendre plusieurs options en compte. Faire la liste de ses rêves pour le futur apporte non seulement du plaisir dans le présent, mais permet d’extraire de ces rêves ce qui peut être réalisable."

samedi 2 mars 2013

Connaissez-vous les craies aquarelle ?

Je les connaissais pour avoir vu quelques collègues animatrices les utiliser lors de nos ateliers avec Anne Marie Jobin, mais je ne les avais jamais utilisées moi-même.
 
La semaine dernière, je m’en suis acheté une petite boite de 12 et j’ai joué avec ces craies toute la semaine. Ce sont des crayons qui ressemblent un peu aux pastels gras et que l’on utilise comme tel. Sauf qu’ensuite, il faut prendre un pinceau avec de l’eau et repasser par-dessus le pastel pour l’étaler comme de la peinture. Cela efface les petits traits que l’on voit et donne un fini qui ressemble plus à de la peinture comme vous pouvez le voir sur mon premier essai.
C’est très agréable à utiliser, relaxant et aussi très créatif.
Essayez-les et venez me donner votre avis!