Ecrivez une lettre à votre compensation. Imaginez-vous face à votre façon de compenser préférée. A partir de là, tout en évaluant les conditions intérieures qui enclenchent le processus, vous devez, d’une part décrire les gratifications qui entre en jeu et, d’autre part, vous représenter les goûts et les élans qui se trouvent empêchés quand vous compensez.
MANGER :
« A toi ma nourriture,
Tu m’apportes de l’apaisement, du réconfort, du calme, du plaisir.
Tu endors mon mal-être, toute la douleur interne d’une blessure d’enfance que je traine.
Tu m’aides à ne pas entendre les petites voix qui me jugent tout le temps, la mienne et celle des autres.
En ce moment, j’ai un grand désir de te changer pour laisser émerger mon être, me laisser le droit d’exister, de vivre et non plus de survivre. »
FUMER :
« Chère cigarette,
Tu me calmes quand je suis stressé.
Tu me calmes quand je suis en colère.
Tu es ma compagne quand je m’isole. L’amour de ma cigarette me détruit.
Je me détruis »
Bon exercice!
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